Oupss... !
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Oupss... !
Bonjour !
J'ai relus le dernier poème que je vous ai soumis le cours passé et quelques coquilles grammaticales évidentes m'ont sauté aux yeux. Je vous soumets donc une version corrigée.
Si vous voulez que je vous imprime cette version pour le prochain cours, faites-moi signe!
Désolé pour les inconvénients !
Écœuré d’écrire avec la plume de l’âme en deuil. Suffit les rimes en pleurs et les strophes amères. Où sont ces poèmes qui éblouit, qui disent toujours : « amusons-nous sans peine! », ceux qui ravivent les contemplations, qui usurpent les connotations enjolivées et rappelle à l’ordre la phrase qui empeste de tristesses. Sans manquer de verbe, on se défoule, on écrit plus.
Je débute donc ainsi :
Il y eut un bateau contenant des mots étiolés. Toujours ils râlaient et exploitaient les douleurs passées. Méprisés, ils furent condamnés à affronter l’immense flaque de sanglots qu’ils avaient tant provoquée. Envoyés au large, ils sombrèrent engouffrés par un raz-de-marée d’eau salée. Quelques-uns purent s’envoler et soufflent désormais aux oreilles solitaires la douleur de la mer.
Lilly
J'ai relus le dernier poème que je vous ai soumis le cours passé et quelques coquilles grammaticales évidentes m'ont sauté aux yeux. Je vous soumets donc une version corrigée.
Si vous voulez que je vous imprime cette version pour le prochain cours, faites-moi signe!
Désolé pour les inconvénients !
Décomposition
Écœuré d’écrire avec la plume de l’âme en deuil. Suffit les rimes en pleurs et les strophes amères. Où sont ces poèmes qui éblouit, qui disent toujours : « amusons-nous sans peine! », ceux qui ravivent les contemplations, qui usurpent les connotations enjolivées et rappelle à l’ordre la phrase qui empeste de tristesses. Sans manquer de verbe, on se défoule, on écrit plus.
Je débute donc ainsi :
Il y eut un bateau contenant des mots étiolés. Toujours ils râlaient et exploitaient les douleurs passées. Méprisés, ils furent condamnés à affronter l’immense flaque de sanglots qu’ils avaient tant provoquée. Envoyés au large, ils sombrèrent engouffrés par un raz-de-marée d’eau salée. Quelques-uns purent s’envoler et soufflent désormais aux oreilles solitaires la douleur de la mer.
Lilly
Lilly-Gabrielle- Messages : 8
Date d'inscription : 23/01/2011
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